Sarah Chiche, dans son roman L’emprise nous raconte comment son héroïne, en fragilité psychologique, s’est fait manipuler et délester de 238.000 euros en 18 mois d’emprise dans une thérapie appelée « révolutionnaire » par son psy puisqu’en trois semaines elle devait être « guérie de tous ses maux.
Quatrième de couverture :
Une jeune femme, à la suite d’un divorce, est en grand désarroi. On lui recommande un thérapeute qui lui promet guérison et bonheur rapides. Hésitante, elle se rend au premier entretien. En quelques séances, ce thérapeute lui devient indispensable. La voici réduite à un assujettissement total.
Parviendra-t-elle à échapper à cette emprise ?
En conclusion, l’héroïne de Sarah est sortie de thérapie plus mal qu’à son arrivée chez le charlatan puisqu’il lui a fallu être soignée par un psychiatre, véritable professionnel de la santé.
Fabienne Frémeaux, dans : Comment se faire arnaquer par son psy, Le prix du bonheur – nous raconte sa propre histoire. Tout est parti de ses crises de boulimie qui perturbaient sa vie ; elle va donc consulter un Médecin – Psychiatre – Psychanalyste et sexologue qui, pense-t-elle, va la guérir de ses problèmes. De plus, elle a choisi un professionnel de la santé : il est médecin, il sait ce qui est bien pour elle …
Mais elle est malheureusement victime d’un thérapeute charlatan, qui plus est, est médecin, psychiatre, psychanalyste et sexologue et qui, au passage, l’aura délestée de 80.000 euros. Il n’est pas le seul en France, nous en connaissons quelques uns, qui ajoutent à la panoplie ci-dessus, les faux souvenirs en prime…
Quatrième de couverture :
Le prix du bonheur est un récit polémique et humoristique qui décrit comment une jeune femme impatiente d’être heureuse est manipulée par son psy. Financièrement, moralement et sexuellement.
Marie-Jeanne Marti, dans Les marchands d’illusions , nous raconte sa douloureuse expérience en tant qu’ancienne patiente de psy, amie et proche de patients ou d’ex-patients et en tant que journaliste.
Page 9 elle écrit si justement :
(…) Ceux qui ont souffert de mauvais traitements thérapeutiques n’osent pas l’avouer, ils ont honte ou il y a prescription, tout se passe comme si l’on avait à faire à un lobby puissant …
Quatrième de couverture :
« … Si en trente ans, seuls huit recueils de témoignages de patients racontant leur cure ont été publiés, on ne dénombre plus les centaines d’ouvrages écrits par des psys paraissant chaque année. Cette disparité illustre à quel point les patients n’ont pas le pouvoir ou l’occasion de s’exprimer, contrairement à ceux qui les soignent.
Ce livre leur rend la parole afin de dénoncer ce qui ne va pas chez les psys depuis plus de vingt ans et demeure soigneusement caché par la profession : abus financiers, manipulation mentale, harcèlement sexuel, mauvaise foi, négligences…
Ces abus perpétrés par ces prêtres des temps modernes, sont la conséquence d’un trop grand pouvoir politique et idéologique dont ils se sont emparés en France, avec l’essor de la psychanalyse et du marché du « mal être ».
Le discours psychologisant est omniprésent dans tous les domaines de notre vie et les Français sont les champions de la consommation de psychotropes. Ce livre souligne ce qu’il y a de pourri dans le royaume de la santé mentale… ».
Nathalie De Reuck avec Philippe Duthilleul, dans : On a tué ma mère – Face aux charlatans de la santé , nous décrit le calvaire de sa maman malade d’un cancer.
4e de couverture :
« Début Décembre 2009, les téléspectateurs belges découvraient avec stupeur le documentaire : Mort biologique sur ordonnance téléphonique » relatant l’épreuve douloureuse de Jacquelins Starck.
Nathalie De Reuck et le documentariste Philippe Dutilleul ont mené l’enquête. On a tué ma mère ! relate le calvaire de Jacqueline Starck et fait la lumière sur les méthodes de ces charlatans qui n’hésitent pas à profiter de la détresse des gens, en leur faisant miroiter des solutions magiques – mais à quel prix ! – comme remèdes à leurs problèmes de santé ou à leur mal-être.
Ce document choc et poignant sur les dessous de ce marché très lucratif qui constitue une menace sournoise, mais non moins réelle pour nos sociétés.