Les malades, proies faciles

Extrait de 20minutes.fr du 13.02.2014 : Les malades, proies faciles

[…] Ce père de famille n’a presque plus aucun contact avec son fils de 30 ans depuis que celui-ci suit une thérapie alternative. « Mon fils était angoissé donc il a été voir un thérapeute recommandé par un ami. Il a commencé à nous reprocher de ne jamais l’avoir aimé. On a fini par ne plus se parler du tout. Je n’ai rien vu venir », confie le papa. Aujourd’hui, le seul contact qu’ils ont gardé est financier. « Il faut bien payer sa thérapie »